Bonjour tout le monde !

Welcome to WordPress.com. This is your first post. Edit or delete it and start blogging!

Publié dans Non classé | 1 commentaire

pas facile d’être heureux

Avant de se demander ce qu’il faut faire pour être heureux, il convient évidemment de s’entendre sur ce que signifie « être heureux ? » Etre heureux correspond à une certaine satisfaction. Cette satisfaction peut être plus on moins intense. On n’est donc pas heureux ou pas, on l’est plus on moins. De plus, être heureux recoupe un grand nombre de choses : jouir d’un plaisir particulier, les plaisirs pouvant être de natures très diverses ; ressentir de la joie ; ne pas souffrir, et il y a diverses formes de souffrances… il y a donc une multitude de bonheurs selon les souffrances dont on est plus ou moins libéré, les plaisirs ou les joies que l’on ressent plus ou moins. Sans compter qu’un même état de bonheur peut être obtenu de différentes façons.
Dans un être humain, se superposent des plaisirs et des souffrances de différentes natures. A priori, parler du bonheur, ou même d’être le plus heureux possible, n’a donc pas vraiment de sens, car cela ne peut être quantifié. Il y a trop de plaisirs et de souffrances difficilement comparables.
Encore ne s’agit-il là que d’une définition du bonheur instantané. La plupart des plaisirs sont contingents et éphémères. Par exemple, lorsque l’on mange, on est vite rassasié, voire dégoûté par ce qui nous a temporairement apporté du plaisir. Le désir constitue un plaisir dont il induit la disparition (en étant satisfait). Inversement, un effort (qui est une petite souffrance) peut entraîner une satisfaction qui nous le rend plus qu’acceptable.

 

Ainsi défini, le bonheur est variable en qualité, en intensité, en durée et est extrêmement subjectif. On comprend que ce concept ait pu être exploité très diversement.
En outre, il implique souvent une idée de perfection : il s’agit d’un « état de pleine et entière satisfaction ». La perfection n’étant pas de ce monde, on comprend que l’on puisse dire qu’il n’existe pas. Tout est affaire de définition.

Les philosophes distinguent le bonheur de la joie par sa durée : la joie est temporaire, le bonheur durable. A la limite, il serait quelque chose de définitif, d’irréversible.

Il se trouve que je vis un tel « bonheur », donc il existe.
Il s’agit de quelque chose de suffisamment précis, d’utile et de peu connu pour qu’il soit particulièrement bénéfique d’en parler…

Le premier élément qui permet de s’approcher de ce bonheur consiste non pas à augmenter les plaisirs, mais à se libérer de certaines souffrances morales. Cela permet d’atteindre une certaine « sérénité » et de libérer une joie de vivre intense et quasi-permanente.
Donc, pour donner à la question « que faire pour être heureux ? » un sens et un intérêt, on pourrait définir le bonheur comme étant un certain niveau de bien-être résultant de l’affranchissement de souffrances morales durables.
Cependant, cette précision de sens pourrait être vue comme une exploitation tendancieuse de la connotation positive du terme « bonheur ». Je pourrais être accusé de vouloir imposer ma définition du bonheur. Accusation contestable : expliciter sa définition pour se faire comprendre n’est pas l’imposer. Il me semble que c’est plutôt en n’explicitant pas ses définitions qu’on les impose (subrépticément)… Cependant, afin d’éviter tout risque de manipulation* involontaire, nous parlerons, pour ce sens précis, de « félicité » (synonyme plus rare et moins galvaudé…)

 

 

 

L’homme est généralement habité d’un certain nombre de souffrances morales diffuses et quasi-permanentes. Par exemple : une anxiété excessive, la peur du manque, un sentiment d’insécurité, la peur de mourir, la peur de déplaire, le remord, l’impatience, la frustration, la colère, l’ennui, les sentiments d’absurdité de la vie, d’inutilité…
Au-delà d’un certain point, ces souffrances morales ne peuvent être satisfaites matériellement : celui qui est porté à l’anxiété trouvera toujours un motif pour la ressentir, la sécurité parfaite ne sera jamais atteinte. Pour celui qui est impatient, les choses n’iront jamais assez vite. Celui qui a tout ce qu’il désire pourra toujours s’ennuyer. Aucun divertissement, ni même aucun acte de foi ne pourront complètement supprimer les sentiments d’inutilité ou d’absurdité de la vie.
Ces souffrances demeureront, tant qu’un certain travail sur soi-même n’aura pas eu lieu, travail permettant de modifier certaines façons de penser, mais aussi de combler certains besoins fondamentaux…

 

Or, par une extrapolation simpliste à partir des plaisirs et souffrances les plus visibles, du fait de l’obnubilation exercée par les besoins et aspirations à court terme, la plupart des hommes privilégient les solutions matérielles, l’action sur leur environnement extérieur.
Ces aspirations prennent des formes très diverses : ressentir du plaisir, éviter une gène, se divertir, s’affirmer, s’intégrer, satisfaire sa curiosité, être aimé etc.
C’est besoins ne sont pas le problème, c’est le recours systèmatique à une action extérieure, sans réflexion sur le long terme, sur soi-même, qui l’est.
Or, on assiste à une quête insatisable de richesse (voir la fortune des plus riches), à une agitation et un divertissement toujours plus grands. Depuis que le progrès technique le permet, la consommation de matière et d’énergie par personne augmente sans cesse. Cela, à cause de cette course effrénée au « bonheur » matériel.

Plus que jamais, nous sommes dans la civilisation de l’éphémère : il faut vivre à cent à l’heure, ne pas se prendre la tête, profiter de la vie, jouir sans entraves etc.
Il est évident que certains besoins à court terme doivent être satisfaits : boire quand on a soif, dormir quand on a sommeil etc. Il n’est pas questions ici de condamner le plaisir en lui-même. Seulement un certain surinvestissement dans le plaisir immédiat, comme s’il était la seule forme de satisfaction envisageable, comme si c’était « le bonheur ». Comme si accumuler des objets pouvait combler un manque d’amour, s’agiter combler un manque de sens.
Non seulement, cette attitude ne fait pas disparaître certaines souffrances intérieures (celles évoquées plus haut), mais elle entraîne des souffrances ultérieures. Ainsi, les ressources matérielles vont finir par manquer (à cause de la sur-exploitation et de la pollution). Ainsi, à cause de la compétition pour ces ressources, abondent les conflits (qu’ils soient internationaux ou intrafamiliaux). Conflits qui, outre qu’ils peuvent occasionner des dégâts par leur violence (blessures, morts, oppressions etc.) altèrent la qualité des rapports humains (il n’y a pas harmonie avec autrui).

Une certaine réflexion permettrait d’éviter cela, mais les hommes réflechissent spontanément à autre chose : comment vaincre l’adversaire, comment gagner de l’argent, comment assurer ma sécurité, comment soulager la misèe, comment fonctionne l’univers… Notre esprit est d’abord tourné vers l’extérieur.

Si cette attitude hédoniste, du fait de son incapacité à combler certains besoins, entraîne l’insatiabilité ; inversement, celui qui a atteint un certain bien-être durable, ne cherche plus systématiquement à fuir la souffrance immédiate ou obtenir le plaisir immédiat. Il ne cherche plus à être le plus heureux possible… la félicité* le comble… Cet homme là est plus libre dans ses choix, autonome, cohérent, capable de surmonter les obstacles et de construire quelque chose de positif.

 

 

Publié dans Amour | 3 commentaires

nostalgie

le tour de mon cœur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j’ai vécu
C’est que tes yeux ne m’ont pas toujours vu.

Feuille de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources de couleurs,

Parfums éclos d’une couvée d’aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l’innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards

 

 

Publié dans Amour | 1 commentaire

Discussion sur Allez quoi! marrez-vous!!!

 

Citer le message précédent

Discussion sur Allez quoi! marrez-vous!!!
I think you’ll find this site interesting…

Publié dans Non classé | 1 commentaire

l’Ostéoporose

L’OSTEOPOROSE

L’ostéoporose est une maladie caractérisée par une diminution de la masse osseuse et une détérioration de la qualité de l’os qui altèrent la résistance osseuse et augmente le risque de fractures.
 

C’est un processus naturel qui entraîne une perte graduelle de masse osseuse ; l’ostéoporose rend les os poreux et fragiles.

Cette maladie évolue progressivement et de manière silencieuse jusqu’à la première fracture. Les parties du squelette les plus touchées sont le poignet, le col du fémur et les vertèbres. Ces fractures surviennent souvent après un traumatisme léger ou même spontanément (sans chute ni choc).

 

La survenue d’une première fracture multiplie le risque de faire de nouvelles fractures. Il est donc important de diagnostiquer et traiter la maladie rapidement et si possible avant la première facture.

 

Les fractures vertébrales

Si les fractures vertébrales sont les plus connues , les fractures périphériques (ou fracture « non vertébrales ») sont pourtant les plus fréquentes , les plus graves et les plus coûteuses  car responsable d’une grande partie de la morbi-mortalité, d’un grand nombre d’invadilités et des dépenses liées à l’ostéoporose.

Ces fractures non vertébrales représentent plus de la moitié des fractures ostéoporotiques de la femme et surviennent à tous les stades de la maladie.

Aux Etats Unis, 1,5 million de fractures ostéoporotiques surviennent chaque année :

les fractures du col du fémur (16,5%)
– les fractures du poignet (16,5%)
– les autres localisations telles que le bras, la jambe ou les côtes… (20%)

Chaque fracture multiplie le risque de survenue d’une autre fracture et ainsi de suite. On parle alors de « cascade fracturaire ».
Ainsi, après une fracture vertébrale ostéoporotique, 1 femme sur 4 présente le risque de faire une autre fracture dans l’année qui suit
.

Les études ont montré qu’une fracture initiale multiplie le risque de fracture ultérieure du col du fémur (dernière étape de la cascade fracturaire) par :
 

– 2,8 pour une fracture initiale des vertèbres
– 1,9 pour une fracture initiale du poignet
– 2,7 pour une fracture initiale du bras
– 2,3 pour une fracture initiale des côtes
La première fracture est donc un révélateur d’un état de fragilité osseuse avancé qui va « naturellement » être suivi d’autres fractures.
                                                                            
 
                     UNE MALADIE SILENCIEUSE
 
 
                                                               

Trop peu de femmes savent que, lorsque leur dos se voûte (cyphose), ce n’est pas seulement l’effet du vieillissement, mais souvent la conséquence d’une véritable maladie : l’ostéoporose.

Cette maladie évolue de manière progressive et silencieuse jusqu’à la première fracture. Les parties du squelette principalement touchées sont le poignet (en moyenne à 55 ans), les vertèbres (vers 65 ans), le col du fémur (autour de 70 ans).
La maladie ayant progressé sur l’ensemble du squelette, le phénomène de « cascade fracturaire » se manifeste. Ainsi, après une fracture vertébrale ostéoporotique, une femme sur quatre risque de refracturer dans l’année qui suit.

En France, 40 000 à 70 000 fractures vertébrales sont recensées chaque année. Ces fractures passent inaperçues dans près de 2/3 des cas et ne sont souvent découvertes qu’à un stade de sévérité avancée, lorsque plusieurs vertèbres sont déjà atteintes.

 
 

 L’homme vaut bien la femme…

Une inégalité entre les sexes vient de disparaître.

 

L’ostéoporose est, par définition, une fragilité de l’os qui peut avoir différentes causes mais dont la conséquence est unique : la fracture. Cette maladie est principalement connue chez la femme post-ménopausée car les hormones protectrices ont disparu. Cependant, il serait faux de croire que l’homme en est indemne. Si l’ostéoporose concerne 4 fois plus souvent la femme que l’homme, la fracture du col survient 1 fois sur 4 chez l’homme.

Encore les hormones !

Comme chez la femme, mais dans une moindre mesure, le déclin hormonal accompagnant le vieillissement peut jouer un rôle, bien que les données pour l’homme restent contradictoires.
Mais, à côté de la baisse de la testostérone, l’hormone mâle, bien d’autres facteurs peuvent être invoqués pour expliquer cette diminution progressive de la masse osseuse.
Ceci pourrait être dû à :
 
 
  • la carence en vitamine D,
  • à une exposition au soleil insuffisante,
  • le manque d’activité
  • les carences nutritionnelles
  • l’alcoolisme.
Côté traitement, celui-ci ne devrait pas différer de l’ostéoporose féminine sauf en ce qui concerne le traitement substitutif hormonal.
En revanche, il a été démontré que tout traitement visant à ralentir la perte osseuse est justifié.

Traitement équivalent

Malheureusement, jusqu’il y a peu, les hommes atteints d’ostéoporose ne pouvaient prétendre à être les égaux des femmes. Un des médicaments de la pharmacopée féminine ne leur était pas remboursé. Le ministre des Affaires Sociales a enfin admis ce médicament (Fosamax®)au rang des spécialités remboursées. Grâce à cette décision, le prix du traitement par mois passera de 38,42 à 9,6 euros (ou 5,74 pour les VIPO) moyennant un examen visant à mesurer la densité osseuse ( l’ostéodensitométrie) démontrant la perte osseuse et l’accord du médecin-conseil de la mutualité.

Prévention :

Domaine thérapeutique: Rhumatologie

 

Spécialité: Actonel® , cp à 10 mg

Dénomination Commune Internationale: Risedronate
Date d’A.M.M.: 2001

 

Mécanisme d’action: Bisphosphonate oral de 3ème génération

 

Indications reconnues: 

Ostéoporose post-ménopausique fracturaire ou densitométrique (Tscore < -2.5)

– Prévention de l’ostéoporose cortisonée (si PDN > 7.5 mg/J pendant plus de 3 mois) chez la femme ménopausée

 

Indications en discussion: Tous les types d’ostéoporose (homme), prévention de l’ostéoporose cortisonée en général

 

Effets secondaires:

Pas plus d’effet secondaire en particulier digestif que le placebo

 

Surveillance:
Aucune

 

Posologie:  1 cp/j à jeun, soit  30 mn avant le petit déjeuner, soit en milieu de matinée

 

Contre-indications: 
Insuffisance rénale chronique sévère
                               

 

 

Domaine thérapeutique: Rhumatologie

 

Spécialité: Fosamax 70® cp à 70 mg

Dénomination Commune Internationale: Alendronate
Date d’A.M.M.: 2002

 

Mécanisme d’action: Bisphosphonate oral de 3ème génération permettant 1 seule prise par semaine

 

Indication reconnue: Ostéoporose post-ménopausique fracturaire ou densitométrique (Tscore < -2.5)

 

Indications en discussion: Tous les types d’ostéoporose (homme), prévention de l’ostéoporose cortisonée

 

Effets secondaires:

– Oesophagites

– Ulcères et érosions oesophagiens 

– Rares cas d’ulcères gastriques ou oesophagiens

 

Surveillance:
Aucune

 

Posologie:  1 cp/j à jeun 30 mn avant le petit déjeuner 1 fois par semaine

Précaution d’emploi:  Nécessité absolue de ne pas se recoucher après la prise

 

Contre-indications: 
Insuffisance rénale chronique sévère

Domaine thérapeutique: Rhumatologie

 

Spécialité: Evista®, cp à 60 mg

Dénomination Commune Internationale: Raloxifène
Date d’A.M.M.: 2001

 

Mécanisme d’action: Modulateur Sélectif de l’action des Récepteurs aux Estrogènes (SERM)

 

Indications reconnues:    Ostéoporose post-ménopausique fracturaire ou densitométrique (Tscore < -2.5)

 

Indications en discussion: Ostéoporose post-ménopausique fracturaire ou densitométrique (Tscore < -2.5) chez les femmes ayant un ATCD de cancer du sein

 

Effets secondaires:

– Thromboses veineuses profondes : RR=2.32 [1.26-4.26] 

– Bouffées de chaleur 

– Pas d’effet sur l’endomètre 

– Diminution du risque d’apparition d’un cancer du sein : RR=0.36 [0.20-0.65] 

– Diminution du cholestérol total et du LDL cholestérol

 

Surveillance:
Aucune

 

Posologie:  1 cp/j à jeun soit  30 mn avant le petit déjeuner, soit en milieu de matinée

 

 

Contre-indications: 
– Insuffisance rénale chronique sévère 

– Insuffisance hépatique sévère 

– Femme en age de procréer 

– ATCD de cancer de l’endomètre ou de cancer du sein ??

 

 

                                                                                          

Nous allons donc lutter pour éviter les fractures

1

Ne fumez pas
L’usage du tabac diminuant l’assimilation du calcium.

 

 

 

2

N’abusez pas de café ou de boisson contenant de la caféine comme le coca cola, 2 tasses de café par jour sont suffisantes.

 

 

 

3

Ayez une alimentation équilibrée et riche en calcium :
Lait, fromages, yaourths, preparations à base de produits laitiers (choisir des produits écrèmes ou semi écrémés et des fromages maigres pour les personnes souffrant de cholestérol)
Poissons et surtout sardines et saumons avec les arêtes
Noix et amandes
Sésame et Trina
Figues sèches
Graines de soja
Tofu

Et pour les végétariens, des légumes verts riches en calcium mais pauvres en oxalate : brocoli, chou, chou chinois, navet vert ….

 

 

4

Ayez une activité physique régulière
Evitez la sédentarité et l’alitement prolongé
Faites une gymnastique adaptée à votre âge et à votre condition physique
La traction exercée par les muscles et l’augmentation de la masse musculaire qui en résulte stimulent l’activité osseuse.
Marchez, marchez, marchez …

 

 

 

5

Une exposition au soleil lorsqu’il n’y a pas de contre indication médicale, de 15 minutes 3 fois par semaine, permet de synthétiser de la vitamine D qui elle-même aidera a l’absorption du calcium

 

 

 

6

Prévenez le risque de chutes et donc de fracture potentielle

Faites vérifier régulièrement votre vue, faites en sorte que la luminosité dans votre appartement soit suffisante et en particulier les lampes de chevet pour ne pas vous déplacer dans le noir au risque de tomber

Evitez les médicaments qui vous rendent somnolents ou vertigineux

Evitez de glisser : verglas, tapis petit ou mal maintenu
N’hésitez pas en cas de besoin d’utiliser une canne, des poignées dans la baignoire ou la douche ou pour se lever des toilettes

Evitez l’alcool qui pourrait être responsable de vertige ou de l’amplification de l’effet des tranquillisants ou des somnifères

Levez vous progressivement et non de façon brutale en particulier après un repas ou un repos, afin d’éviter une chute brutale de tension, elle-même pouvant entrainer un vertige ou une chute

Chaussez vous bien en évitant les talons hauts ou pointus, il faut s’assurer que la semelle de la chaussure ne soit pas glissante
Evitez d’être en chaussettes ou pieds nus sur un sol glissant

 

 

 

 

8

Consultez votre médecin et si nécessaire un spécialiste
Pour savoir s’il vous est permis et recommandé de prendre un comprimé de calcium
Celui ci sera toujours pris à distance d’un produit laitier
Pour savoir s’il vous faut un médicament et quel est celui adaptéà votre cas
– TSH ou traitement hormonal substitutif
– Raloxifene ou Evista
– Alendronate ou Fosalan
– Residronate ou actonel
– Calcitonine ou miacalcic
– Parathormone ou injections journalières de forteo (n’est pas encore dans le panier de soins)

 

 

 

9

Et si vous êtes de famille ostéoporotique, petite, mince et de peau claire
Vous êtes à risque, faites un bilan d’ostéoporose
Vos enfants sont à risque pour plus tard ; donnez leur une alimentation riche en calcium pour construire le capital osseux le plus solide possible et pour leur donner de bonnes habitudes.

 

 

 

               

Publié dans ma maladie | 1 commentaire

c’est pas juste

Je suis vraiment dégouté, ce que les gens peuvent imaginer pour satisfaire leurs plaisirs personnel, je lit régulièrement un journal qui s’appelle " Le nouveau Détéctive" vous connaissez sûrement et je suis malade de voir que malgré un passé chargé de criminalité, certain  juge ce permettent encore de relâher ces basndits sachant pertinemment que ceux ci vont remedier à leur **sport favoris** soit la criminalité. et c’est d’autant plus choquant quand sa touche des enfants; ( je ne veux pas minimaliser les abus subis par les adultes) ces enfants vont devoir toutes leurs vie durant traîner un fardeau lourd de douleurs, de culpabilité souvent ou de honte et sa c’est les douleurs intérieur, malheureusement en plus de cà il y a également les blessures physiques, qui laissent des marques. ce n’est pas juste que les soit disant personnes ayant pour mission de protéger, ce décident de libérer ces détenus sous prétexte qu’ils ont eût une conduite exemplaire, malgré les mise en garde de certains experts notemment les mettent en  gardent sur les risques de recidivise, car toutes ces années d’abstinances en prison, ne vont que stimuler l’envie de retrouver ces plaisirs d’entant….. tout simplement ignoble… Je ne sais pas pourquoi j’ai eût envie d’écrire ces mots, sûrement pour me décharger de cette colère ou cette rage qui dort en moi, lorsque je lis que tel ou tel personnes à été blessée ( si ce n’est pas tuée) par un ex détenu fraîchement sorti de sa cage….. je me demande comment un oz des juges puissent encore dormir tranquille, ou ce regarder dans une glace sans en avoir honte…..
Là je suis à moitié content j’ai poussé mon coup de gueule, ca ne changera sûrement rien, mais bon, sa fait du bien…
 
Je serais content que toi lecteur de ces quelques lignes,me partages tes opinions… Merci….à plus
 
 
 
 
Publié dans Non classé | 1 commentaire

Unihockey

 

 

DOSSIER DE UNIHOCKEY

OBJECTIFS

Se mouvoir :

 

Courir de différentes manières (pour contrôler le jeu),

Passer, recevoir la balle

Courir, feinter, bifurquer pour jouer la balle

 

Se situer dans l’espace et dans le temps :

 

Marquer, se démarquer,

Gérer simultanément deux buts : attaquer l’adversaire et se défendre,

Contrôler simultanément les déplacements des joueurs et celui de la balle,

Lever la tête pour voir ce qu’il se passe sur le terrain.

 

Connaître son corps :

 

Gérer son effort (moments rapides, moments de récupération),

Savoir s’échauffer pour l’activité,

Jouer sans se faire mal et sans faire mal à l’autre

Connaître les règles du unihockey.

 

Participer à une action collective :

 

Comprendre, respecter et expliquer les règles du jeu,

Se conduire avec fair-play,

Respecter les décisions de l’arbitre

 

Pourquoi l’échauffement ?

 

 

Pour éviter les claquages et les autres blessures.

Pour augmenter son rythme cardiaque, accélérer sa respiration pour les efforts à venir.

Permettre de rentrer dans l’activité, par exemple avec divers exercices de maniement de la canne et

de la balle.

 

ECHAUFFEMENTS ET MISES EN ACTIVITE

 

Chaque élève prend une canne et une balle et se déplace dans la salle en essayant de maîtriser la

balle.

Idem mais en courant et en faisant rebondir la balle contre des murs.

Idem, mais au coup de sifflet, échanger sa balle avec la personne qui se trouve en face.

 

Suivre le guide

 

Deux élèves se suivent, chacun guide une balle avec la canne. L’élève de derrière imite tous les

mouvements de l’élève de devant. Changer les rôles au coup de sifflet.

 

Les lignes de la salle

 

Ne pouvoir marcher que sur les lignes de la salle avec sa balle et sa canne.

Variante : il est interdit de croiser sur une ligne. Il est alors obligatoire de faire marche arrière ou

de bifurquer auparavant.

 

Deux par deux

 

S’effectuer des passes l’un en face de l’autre, puis

en mouvement dans la salle de gymnastique.

Apprendre à contrôler la balle avant de la

renvoyer à son partenaire.

JEUX

Passes-Eclair

 

A) Constituer 3 équipes et délimiter 3 terrains. Chaque équipe est en possession de la balle et les

joueurs sont répartis équitablement sur le terrain. Durant un temps donné, les élèves se passent la

balle. Quelle équipe réalise le plus grand nombre de passes ?

 

B) Idem, mais une fois que l’élève a reçu la balle et l’a renvoyée, il s’assied. Quelle équipe est

assise en premier ?

 

Les déménageurs

 

Partager la classe en deux équipes et installer un caisson rempli de balles dans chaque camp. Au

signal, chaque élève s’empare d’une balle et fait la traversée avec sa balle pour aller la déposer dans

le camp adverse. Au coup de sifflet final, quelle équipe aura le moins de balles dans son camp ?

Traverser la forêt

 

Les membres de l’équipe A se placent dans la salle, derrière une ligne pré-définie afin de laisser un

minimum de mouvement pour le départ de l’équipe B. Les membres de l’équipe B essaient de traverser

la salle sans se faire prendre la balle par un des membres de

l’équipe A. Combien de traversées réussissent-ils en 2

minutes ? Puis inverser les rôles.

 

La mouche

 

Trois élèves se placent en triangle et se font des passes, un

élève est au centre. Il essaie d’intercepter une passe. Celui qui

perd la balle se met au centre.

 

La balle assise

 

Individuellement, les élèves essaient, en envoyant leur balle avec la canne, de toucher au pied un

autre élève. Lorsqu’un élève est touché, il va effectuer des passes avec les autres éliminés dans une

partie pré-définie. On peut également utiliser ce jeu en balle vestiaire.

 

La balle brûlée

 

Ce jeu est excellent en adaptation hockey. Utiliser les règles de jeu d’une balle brûlée standard, mais

instaurer un « batteur-hockey » pour l’équipe des coureurs. Celle-ci part deux par deux une fois la

balle « battée », en courant avec la balle et la canne. Les élèves doivent être à un piquet AVEC leur

balle pour ne pas être brûlés. Les élèves du milieu (avec canne) doivent se dépêcher de ramener la

balle « battée » au brûleur (à genoux sans balle ni canne).

Echanger les rôles après 5 minutes, ou après que chaque élève soit passé 3 fois.

 

Roll-mops

 

Deux équipes se tiennent face à face, chacune derrière une ligne. Un ballon (ou deux) de volleyball

est posé au milieu. Les joueurs essaient de repousser, avec leurs tirs, le ballon de l’autre côté de la

ligne adverse. Celui qui prend l’élan avec sa canne plus haut que les hanches est éliminé et devient

ainsi ramasseur de balles pour son équipe.

 

Le loup

 

Toute la classe a une balle et une canne. Quatre loups sans balle essaient alors de chasser des balles.

Lorsqu’un loup parvint à chasser une balle, il donne son sautoir à sa « victime », celle-ci devenant loup

à son tour.

 

L’horloge

 

Les joueurs du cercle possèdent une balle (jusqu’à 3 balles pour les

6p). Au signal, les joueurs de la colonne font le tour de la salle en

courant le plus vite possible avec leur canne et leur balle tandis que

les joueurs du cercle se font des passes et comptent le nombre de

tour qu’ils parviennent à effectuer avec la balle. Lorsque tous les

coureurs sont revenus à la case départ (après un ou deux tours),

inverser les rôles. Quelle est l’équipe qui fera le plus grand nombre de

passes avec la balle ?

 

Parcours par équipe

 

Installer quatre parcours différents dans la salle et quatre équipe. Chaque équipe doit effectuer le

parcours, aller chercher une balle de tennis au fond dans son cerceau, et la ramener dans le cerceau

derrière son équipe. Lorsque le premier est au cerceau du fond, le deuxième peut partir, afin de

permettre plus de rendement sur le parcours. Quelle équipe aura récolté le plus de balles à la fin des

quatre estafettes ?

Exemples d’estafettes : slalom, banc à marcher dessus avec la balle à la canne, caissons contre

lesquels on lance les balles, but dans lequel les élèves doivent réussir le tir pour prendre une balle

dans le cerceau du fond, etc…

TACTIQUE, TECHNIQUE, DEMARQUAGE ET

 

JEUX

Balle au tapis

 

Séparer la salle en deux. Installer 6 tapis dans chaque partie de salle. Dans chaque partie, il y a donc

une dizaine d’élèves. Donner un sautoir à deux d’entre eux, ils sont les défenseurs. Ils veulent éviter

que les 8 attaquants puissent marquer un but sur l’un des 6 tapis.

Il est interdit d’être plus que 2 sur la balle, afin d’éviter les gros essaims. Changer les défenseurs

après deux minutes. Quels seront les défenseurs les plus actifs ?

En mouvement : passer dans le sens de la course

Diviser la salle en deux et installer deux buts au fond de la salle. Par deux, les joueurs traversent le

terrain à trois mètres de distance l’un de l’autre (exercice en parallèle pour éviter des temps

d’attente trop longs) et se font des passes jusqu’au cône devant le but. Ils tirent au but, récupèrent

leur balle et reviennent le long du mur sans déranger les autres joueurs.

Passes en carré

 

Par groupes de trois, les élèves se passent la balle en suivant

un carré. Celui qui vient de jouer se déplace dans l’angle libre.

Important : faire des passes au ras du sol. Pour les plus

grands, des passes en diagonales sont possibles.

 

Jeu trois contre trois

 

Terrain : diviser la salle en quatre. Les buts sont des tapis. Dès qu’une équipe a marqué deux buts,

elle sort chercher une équipe qui était en pause. L’équipe perdante reste sur le terrain et garde son

nombre de points. Il n’y a pas de gardien.

 

REGLES

Pour toutes fautes, l’arbitre siffle 1 fois et on joue un coup-franc (direct autorisé). Le joueur doit

jouer la balle dans les 3 secondes après l’avoir immobilisée au sol en la frappant (pas accompagnée).

Toutes les sorties ou fautes derrière le prolongement de la ligne de but se font au point de bully le

plus proche.

Lors d’une remise en jeu, les joueurs adverses doivent se trouver, cannes y comprises à 2 m (petit

terrain), 3 m (grand terrain) de la balle au moment où le joueur touche la balle. (2 minutes)

Le jeu débute ou repart après un but par un engagement au point de bully central. Un joueur de

chaque équipe se trouve face à face (pieds parallèles), cannes parallèles au sol et attendent le coup

de sifflet avant de jouer. Les autres joueurs se trouve à 2m / 3m.

 

      La zone de but

       

 

Toutes les fautes de défense dans la zone de but sont sanctionnées de 2 minutes. Ensuite remise en

jeu à 2 m (petit terrain), 3m (grand terrain) de la ligne de protection du gardien.

Toute faute qui empêche un but entraîne 2 minutes et un penalty.

Ni la défense, ni l’attaque n’ont le droit de mettre le pied dans la zone de protection du gardien

(petite zone devant le gardien).

Lorsque le gardien se saisit de la balle, les joueurs attaquants ne peuvent pas essayer de le gêner

(quelque soit la distance) ou d’intercepter la balle à moins de 2m / 3m (2 minutes).

 

Le joueur

 

Ne peut jouer la balle que jusqu’à la hauteur des genoux s’il est entouré et lever la canne jusqu’à la

taille si personne ne se trouve à 2 m.

Ne peux pas frapper avec sa canne le corps de l’adversaire ou sa canne. (2 minutes) si répété.

Les contacts durs (body check) sont interdits (2 minutes), seul le contact épaule – épaule est

autorisé. L’utilisation d’une autre partie du corps est interdite.

Ne peux pas sauter pour jouer la balle.

Doit jouer la balle avec la canne, les pieds, les jambes ou le torse.

Ne peux pas toucher la balle volontairement avec les bras, les mains ou la tête. (2 minutes)

Ne peux pas toucher 2 fois de suite volontairement la balle avec une partie du corps.

Ne peux pas faire une passe volontaire avec une partie du corps

Ne peux pas marquer un but volontairement avec une partie du corps.7. Ne peux pas reculer mais

seulement progresser vers l’avant ou de côté.

 

Le gardien

 

Joue sans canne et doit toujours attraper la balle en ayant une partie du corps dans la zone de but.

Il peut néanmoins sortir de la zone de but, mais il doit se comporter comme un joueur sans canne.

(pas toucher la balle des mains, pas de passe du pied, etc.)

Lorsqu’il bloque la balle, il ne peut la conserver que 3 secondes.

Le gardien peut dégager ou faire une passe au delà de

la ligne du milieu de terrain uniquement si celle-ci a

touché le sol avant.

Il est interdit de faire une passe volontaire au

gardien.

 

Le penalty

 

Tous les joueurs exceptés le tireur et le gardien sortent du terrain. La balle est posée sur le point de

bully central, le joueur commence au coup de sifflet.

La balle ne doit jamais reculer et toujours être en mouvement.

Une fois que la balle a été tirée, le joueur ne peut pas faire de reprise, sauf si, après l’intervention

du gardien, la balle continue sa progression en avant.

 

 

Unihockey   

 

Connaître son corps    (Avis de l’élève Avis de l’enseignant )

Je sais jouer sans faire mal aux autres

Je gère mon effort pour jouer jusqu’au bout du match  (je m’arrête parfois  pour récupérer)

Se situer dans l’espace et dans le temps

Je lève la tête pour regarder le jeu

Je me place pour recevoir la balle

Se mouvoir

Je rattrape et lance correctement la balle

Je cours sur le terrain pour être dans l’action

Participer à une action collective

J’ai compris et je respecte les règles

Je joue avec tout le monde

Je donne trois règles de jeu…

……………………………………………………………

……………………………………………………………

……………………………………………………………

Publié dans Divertissement | 2 commentaires

c’est pas juste

 
 
Comment commencer???? ce n’est pas vraiment simple, j’aurrai tellement de chose à raconter que je ne sais  même pas par quoi commencer… enfin je vais essayer:
 
Je ne pense pas être un mec  compliqué, je suis du genre social, compréhensif, patient…. mais pourtant une chose  me dérange on plus profond de moi… ce de ne pas vraiment savoir quel sont mes racines… j’ai entendu bien des choses, par bien des gens, mais pas une ne disaient la même chose… alors oui je me sens perdu parfois dans cette recherche continuelle de la vérité… Vérité de
famille . Dès ma naissance je vit dans une bulle de parent de ""Rechange"" depuis la plus tendre enfance on ma trimballé de gauche à droite… de familles en familles…(à l’âge de 22 ans j’ai rencontré ma mère pour la 1ère fois)
 

                                                                                               

 

 
 

 

Publié dans Non classé | 1 commentaire